SOLUTION LINUX : le salon des solutions Open Source dédiées à l’entreprise
Pour sa 12e édition, le salon Solution Linux 2010 a rencontré un vif succès. C’est du moins l’impression que donnaient les allées bien remplies du palais de la porte de Versailles du 16 au 18 mars.
Microsoft créée l’évènement
Solution Linux est le premier salon européen dédié à l’open source. La plupart des grands acteurs ont répondu présent cette année encore, que ce soit côté éditeur (Zimbra, Neogia, Mozilla, Linagora, Oracle) ou côté intégrateur (Linagora, Smile, Alterway, Talend). La plupart des associations du libre étaient également représentées (APRIL, ADULLACT, AFUL). Parmi tout ce monde, Microsoft a créé l’événement en s’invitant aux conférences inaugurales. Petit à petit, le géant de Redmond adopte une position plus ouverte vis à vis de l’open source, en jouant la carte de l’interopérabilité.
L’open source : un marché en croissance
Cette ouverture montre, s’il en était besoin, que l’open source tend à se professionnaliser. En France, il a généré 1,47 milliard d’euros en 2009, soit une progression de 30%. Les grands donneurs d’ordre commencent sérieusement à s’intéresser à ce modèle de développement qui leur permet de réduire les coût grâce à la mutualisation des projets (dans l’industrie aéronautique, la banque, etc.). Le logiciel libre a ainsi profité de la crise en 2009 pour s'installer dans les entreprises aux côtés des solutions propriétaires. Selon le Gartner Group, 75 % des principales DSI afficheront en 2010 une stratégie formalisée d’acquisition et de gestion des solutions open source.
La stratégie gagnante d’Intelli’N
Aisne Numérique n’a pas manqué de participer à ce rendez-vous d’autant plus qu’un de ses partenaires, Intelli’N, était présent en tant que web TV officielle. La tonalité globale du salon tend à démontrer que la stratégie opérée par ce groupement d’entreprises est la bonne, à savoir que l’innovation et la R&D sont fondamentales, que le logiciel libre ne doit pas se contenter de copier les applications propriétaires existantes, que l’interopérabilité doit être pensée à tous niveaux et que les projets à forte valeur ajoutée ne peuvent émerger que dans le cadre de la « coopétition » des acteurs...
Pour sa 12e édition, le salon Solution Linux 2010 a rencontré un vif succès. C’est du moins l’impression que donnaient les allées bien remplies du palais de la porte de Versailles du 16 au 18 mars.
Microsoft créée l’évènement
Solution Linux est le premier salon européen dédié à l’open source. La plupart des grands acteurs ont répondu présent cette année encore, que ce soit côté éditeur (Zimbra, Neogia, Mozilla, Linagora, Oracle) ou côté intégrateur (Linagora, Smile, Alterway, Talend). La plupart des associations du libre étaient également représentées (APRIL, ADULLACT, AFUL). Parmi tout ce monde, Microsoft a créé l’événement en s’invitant aux conférences inaugurales. Petit à petit, le géant de Redmont adopte une position plus ouverte vis à vis de l’open source, en jouant la carte de l’interopérabilité.
L’open source : un marché en croissance
Cette ouverture montre, s’il en était besoin, que l’open source tend à se professionnaliser. En France, il a généré 1,47 milliard d’euros en 2009, soit une progression de 30%. Les grands donneurs d’ordre commencent sérieusement à s’intéresser à ce modèle de développement qui leur permet de réduire les coût grâce à la mutualisation des projets (dans l’industrie aéronautique, la banque, etc.). Le logiciel libre a ainsi profité de la crise en 2009 pour s'installer dans les entreprises aux côtés des solutions propriétaires. Selon le Gartner Group, 75 % des principales DSI afficheront en 2010 une stratégie formalisée d’acquisition et de gestion des solutions open source.
La stratégie gagnante d’Intelli’N
Aisne Numérique n’a pas manqué de participer à ce rendez-vous d’autant plus qu’un de ses partenaires, Intelli’N, était présent en tant que web TV officielle. La tonalité globale du salon tend à démontrer que la stratégie opérée par ce groupement d’entreprises est la bonne, à savoir que l’innovation et la R&D sont fondamentales, que le logiciel libre ne doit pas se contenter de copier les applications propriétaires existantes, que l’interopérabilité doit être pensée à tous niveaux et que les projets à forte valeur ajoutée ne peuvent émerger que dans le cadre de la « coopétition » des acteurs..
Bonjour,
Merci pour ce post très bien rédigé !
Je vous invite à venir sur notre webTV pour découvrir les vidéos que nous avons faites sur le sujet notamment celle sur : "Microsoft est-il encore le « grand opposant » au logiciel libre / open source ?"
A bientôt,
Jonathan